MERIGNAC - DRAG-QUEEN UN JEU "ENFANTIN" !
À Mérignac, dans la périphérie de Bordeaux, l'association MJC CLAC (maison des jeunes et de la culture) a pour but d'offrir aux enfants de la ville des distractions. Cette fois-ci, le programme alerte les parents concernés. En effet,
le thème proposé pour les séances à venir est le suivant :
« Un stage drag qui casse les codes », animé par le club Girofard, club LGBT de la ville. Le programme est chargé : choisir son personnage drag, se donner un nom, apprendre à défiler en chaussures à talon avec le regard et l'attitude correspondante au personnage et, pour finir, représentation finale à laquelle les parents sont conviés. Le tout est financé par les impôts des habitants de Mérignac.
Quatre enfants sont déjà inscrits pour l'heure : un succès relatif… En revanche, la pétition mise en place pour annuler cette formation gagne en popularité. En trois jours, elle compte 4.256 signatures.
Cette pétition a été déclanchée par l'association familiale AFC Bordeaux et Nord Gironde.
Le collectif Parents vigilants, branche du parti Reconquête, s'est aussi levé. Tout en s'accordant de l'importance de proposer a des enfants des expériences différentes, ces deux groupes de parents attentifs alertent sur le danger réel de cet atelier :
L'atelier n'est pas dans l'intérêt des enfants. Exposer les enfants à une propagande woke, aux théories du genre, à l'hypersexualisation dès le plus jeune âge alors même que les enfants concernés n'ont pas encore formé leur jugement critique présente un grand danger pour leur bien-être mental et émotionnel « L'exposition précoce à certains aspects du drag peut être déroutante pour les jeunes esprits en développement et peut avoir des conséquences psychologiques négatives », estime l'AFC, s'appuyant sur une étude de l'American Psychological Association.
A savoir que, Virginie Tournay, membre des Parents vigilants, souligne le prix de ce projet. 296.226,27 euros, c'est le montant des subventions que touche l'association MJC, cette somme l'association peut piocher pour payés les « intervenant.e.s ». Le tout bien sûr pris sur les impôts des habitants, y compris ceux qui refusent ce stage "bien étrange pour des enfants/ados".
Un phénomène hélas assez fréquent :
Ce n'est pas la première fois que des drag-queens s'invitent dans le monde des enfants, provoquant consternation et colère. Le pire c'est qu'aujourd'hui on propose aux enfants de se transformer, ce qui ne se faisait pas jusqu'a ce jour.
Ces drag-queens qui n'avaient déjà pas leur place dans les ateliers écoles, passaient faire des séances de lecture dans des tenues plus que suggestives. C'est arrivé à Toulouse, mais les opposants avaient eu gain de cause l'année dernière, d'ailleurs en Février.
Le mouvement La Furie française avait dit son opposition face à cet atelier et lancé une pétition en ligne. « Dans un soucis d'apaisement », selon les dires de la mairie, l'accès de cet atelier de lecture était prévu pour des enfants de 3 à 8 ans. Il a était par la suite réservé à un public "majeur".
Un peu partout en France ce phénomène ce réitère de plus en plus ...
En mars 2023 à Paris dans le XIIIe arrondissement, l'événement « La conteuse est une drag-queen » avait suscité une grande polémique. Pourtant, l'événement avait été maintenu.
En Bretagne, en mai 2023, le même atelier était proposé aux enfants de 3 à 6 ans dans la commune de Saint-Senoux. L'atelier a été secoué par des militants de L'Oriflamme. Leurs cris : « À nos enfants inculquez nos racines, n'imposez pas les drag-queens. »
Apparemment, il ne fallait pas déranger ces dits "ateliers" car l'un de ces militant a été condamné de 4 mois de prison ferme, pour défendre le droit de garder aux enfants leur innoncence !
Des parents vigilants veillent sur la sauvegarde de l'innoncence de l'enfance, que se passera t-il autour du ministère de la Culture ? Madame Rachia Datti, ministre de la Culture se dit contre le wokisme, que fera-t-elle pour mettre fin à la propagande woke dans les écoles et auprès des enfants les plus jeunes ?
Attendons de voir !